Le bout du nez du soleil, je m'en fou (Zaky, Jessypo, Eli)

- YEAH, first sujet here-

La journée venait de commencer. Une journée comme les autres, une journée ennuyeuse, normale, innocente. C’est sur cette journée qui s’annonçait comme toutes les autres que la jeune Elianne se réveilla. Une journée qui allait être horrible, mais ordinaire. Petite gaffeuse de nature, la jeune femme se réveilla face contre le sol, l’oreiller sur la tête et non là où elle devait être; sous sa tête pour au moins protéger ses intérêts. Les jambes et bras emmêlés de couverture, la jeune fille s’y débattit férocement, pour finalement réussir à sortir de cet enfer qu’était la prison de draps.
Sa journée qui ne faisait que commencer ne ressemblait qu’au autre. Trop de gaffes par-ci, par là. Cheveux légèrement en bataille, la jeune fille se dirigea vers la porte de la salle de bain. Les yeux totalement réveillés, mais légèrement brumeux dût à son réveille légèrement brusque.
Après un long moment qui semblerait être des heures, la jeune fille put finalement sortir de cette pièce suivi d’une bouffé de brume et une odeur légèrement sucrée. Prête pour enfin attaquer sa journée sur le bon pied, elle sortit de sa chambre en trottinant ne se dérangeant même pas pour faire le moins de bruit possible. Si ces colocataires avaient le sommeil douteusement léger à 7h30 du matin, ce n’était pas son problème.
Habillé avec tout le fashion qu’une fashion victime puisse faire, la jeune femme ouvrit la télévision sur un poste de musique quelconque et poussa le volume à une limite quelque peu plus bruyante que la norme des gens auraient fait en ce samedi matin.

La jeune femme se balança dangereusement sur le canapé avec aucune raison précise, simplement le fait qu’elle avait besoin de bouger. Pourtant, il n’était que très tôt le matin, aucune place pour danser sans réveiller ses charmants compagnons d’appartement. Son ex petit copain qui aimait trop les femmes et un garçon qu’elle avait très vaguement vu.
Elianne pensa légèrement à son passé avec le frère d’une de ses amis, un très bon passé jusqu’à ce qu’elle en ait marre de son intérêt élevé pour tous les genres de femmes. Pas qu’Elianne était le genre de femme à être jalouse, mais il fait bien se protéger le cœurs un peu.

Pourtant, perdu dans ses pensées, la jeune femme ne remarqua jamais qu’elle tanguait de plus en plus vers le rebord sur divan pour finalement s’étaler parterre dans un bruit sourd.

« Outch! »

7h28 Du matin..
Le voilà qui sautait alors sur un tigre et entamait une course aux obstacles sur le dos de la grosse bête pour aller chercher le trésor à l'autre bout de la forêt. Et quel trésor.. ! Au dessus de la pyramide, 2 belles jeunes femmes en tenue d'Eve attendaient que le héros Jessy les sauve du bucher.. Elianne et Kim..? .. Le voilà qui devait faire son choix, en sauver une seule et laisser mourir l'autre.. Il allait annoncer sa décision au Chef Inca lorsque...

Please don't stop the music.. Hey boys & Girls put your hands up.. Jessy ouvrit alors un premier oeil.. et fut satisfait dans un premier temps de se retrouver dans son grand lit et non pas dans la foret d'Amazonie ou peu importe.. Il regardait alors l'heure à son radio reveil.. Etait il en retard? Non Samedi matin, jour de repos pour le nouveau chef promu de la police. Il mit quelques secondes à comprendre que la source de ce vacarme trop matinal à son goût n'était autre qu'Elianne.. Il fut exaspéré: sa joie de vivre ne pouvait elle pas faire grève un samedi matin??

Il aurait bien voulu se rendormir mais maintenant c'était trop tard, il était trop énervé pour se rendormir. Il posait alors les pieds au sol, tout en passant la main dans ses cheveux et se levait enfin. Vêtu d'un simple boxer blanc moulant à merveille ses petites fesses musclées, il clenchait la poignée de la porte.
A peine était elle entre ouverte qu'il entendit un petit bruit léger et sec en provenance du salon.. Il s'avançait alors au milieu de la pièce et amusé de la situation , il dit alors d'un ton très moqueur:

" Encore une nouvelle idée de tes magazines féminins pour garder la ligne? "

Quatre fers en l'air, position préférée de la jeune Elianne. Ironique comme position, il ne va pas s'en dire. Même que la jeune femme s'était cognée la tête, douloureusement je tiens à préciser, sur le sol du magnifique salon. Encore une fois que la jeune femme se retrouvait par terre pour une raison aussi médiocre qu'est son existence. Sérieusement, elle n'en pouvait vraiment plus de cette journée qui avait commencé aussi mal qu'elle continuait.

Essayant de se relever, la jeune femme entendit les bruits des pas qui se rapprochaient. Pas vraiment envie d'être encore plus ridicule, la jeune fille essaya de se relever, pour retomber dans la même position qu'au départ. Ah et puis, peu importe après tout. Ses yeux maintenant fermés, elle reconnut le propriétaire de cette voix moqueuse qui lui fit grincer les dents.

« C'est ça, moque toi de moi! Ce n'est pas MA faute si le divan c'est tassé de lui-même. J'étais bien installée et puis... BOUM! Je me retrouve à terre, la tête sur le sol et mes jambes en part et d'autre. »

Faignant d'être insulter, la jeune fille se releva dignement du sol se décollant les fesses ainsi que toutes autres parties qui auraient malheureusement eu doit à la visite du sol d'un endroit qui semblerait pleins de poussières.

« Tu fais un très piteux gentleman, mon cher! »

Le frôlant simplement, elle partit vers la cuisine semblant l'avoir oublié pour un moment. Tension qui au début de la matinée n'était pas, fût présente plus que jamais. Elianne renifla d'un air vexé à la remémoration du passé. Pourquoi avait-elle dit oui pour être en appartement? Elle aurait pu squatté un peu partout, mais non. La jeune femme voulait être installée quelque part. Être stable, toujours et encore.

Installée dans la cuisine adjacente au salon, la jeune fille soupira légèrement. Ça ne pouvait pas durer comme ça éternellement, n'est-ce pas? Elle devait lui parler ou encore faire comme si de rien était. Choix mentalement fait, la jeune fille se colla le plus beau sourire qu'elle pouvait au visage et se retourna pour regarder Jessy.

« Alors, Sweety, je ne t'ai pas réveillé j'espère? » Petite voix innocente, bien sûr qu'elle le savait.

Les Quatre pattes en l'air? La position préférée d'Ella, ça surement pas.Et il en savait bien quelque chose! Elle s'était ridiculisée sur le coup mais ce qu'elle pouvait être mignonne lorsqu'elle s'énervait. Celà lui rendait un air très sexy il fallait l'avouer.
Elle barbouillait et lancait quelques reflexions qui n'atteignirent que très peu Jessy avant de s'enfuir vers la cuisine. Lui , un mauvais gentlemant? N'importe quoi, il pensait lui avoir assez prouvé que lorsqu'il voulait, Jessy pouvait être un véritable amour, même le meilleur.
S'inquiétant de l'état de sa tête il la rejoignit alors dans la cuisine et remarquait la petite bosse rouge qu'elle avait maintenant sur le front. Elle lui demandait si elle ne l'avait pas réveillée lorsqu'il sortait du placard une pommade anti-hématome. Il lui répondit :

" Non pas du tout. On ne l'entend presque pas..."

Bien sur , celà était ironique et Elianne s'en doutait mais Jessy adorait ce petit jeu entre eux. Il s'avancait alors avec dans les mains le tube de crème et une compresse. Il soulevait le robinet d'eau froide et y placait la compresse quelques milliers de secondes à peine dessous.
Se retournant vers la jeune femme, il appliquait la petite compresse sur son front tout en lui demandant:

"Et toi, tu as passée une bonne nuit j'espere.. "

Le haut du torse de Jessy était à la hauteur des yeux d'Elianne et il lui avait fallu se rapprocher d'elle pour lui appliquer la compresse qu'il jeta ensuite dans la poubelle . Il décapuchonnait alors le tube et appliquait en massant légèrement et doucement la crème sur la petite bosse de la belle.

Une fois terminé, il rangea les affaires en rigolant et en disant:

" Quand même! Tu devais être drolement préoccupée pour ne pas faire attention comme celà! "

En voyant l'horrible personnage se rapprocher d'elle, elle recula le plus doucement possible, essayant très subtilement de s'échapper de la catastrophe qui allait lui arriver. Trop d'émotion dans un simple moment, beaucoup trop. L'intérieur de ses joues maintenant mordillé, elle déglutit. Il ne lui donnait pas les choses faciles, ce jeune homme plein de lui-même. La remarque pas du tout ironique fit sourire la belle blonde pour un moment ou deux. Elle aurait dû se douter que son bruit aurait réveillé au minimum ce garçon qu'elle avait fuit jusqu'à l'aurore.

« Je suis terriblement désolée » envoya-t-elle dans le même ton, aussi ironique, aussi amusé. Un jeu, oui, un jeu. Il n'y avait que des jeux entre eux. Des trucs sans sérieux, comme tout avec lui. Son regard bleuté parcouru le corps qui se rapprocha dangereusement avec des objets dans sa main. Les lèvres d'Elianne étaient séparés d'un faible trou pour y aller sa respiration voler livre se collèrent totalement, la faisant ainsi retenir vaguement sa respiration. La question la troubla quelque peu, mais elle n'en montra aucun signe.

« Hem, comme toutes les nuits depuis un moment » avait-elle dit omettant le fait qu'elle ne dormait pas les nuits entières, mais seulement quelques heures. De toute manière, il n'avait pas besoin de savoir cela, n'est-ce pas?

Le corps de Jessy, beaucoup trop prêt, fit se tendre la jeune fille. Elle sentait l'odeur de son colocataire l'envelopper et il est sans dire qu'elle n'aimait pas ça. Elle était trop prêt de lui, beaucoup trop. Ses yeux rivés sur le torse du garçon la fit fermer les yeux un simple instant. Sa petite bosse rougeâtre sur sa tête aurait pu rester où elle était. Elle n'avait pas besoin d'aide et encore moins d'un garçon en boxer qui par ailleurs était très mignon, le garçon étant trop mignon. Sa tête remplit de cette odeur particulière ne donnait plus beaucoup de signe vitaux, le nombre incalculable de rêves et de souvenirs venaient et allaient comme dans un moulin. Une si mauvaise, trop mauvaise, idée.

Quand sa tête fut finalement abandonné pour le rangement des objets utilisés pour sa blessure, la jeune fille se la secoua pour enlever toutes idées qui pourraient avoir l'idée de se former.

« Tu n'as pas idée. » murmura-t-elle plus pour elle-même, mais sans vraiment cacher ce qu'elle avait dit. Au pire, il le prendra comme il le voudra cette phrase. La jeune blonde recula de quelques pas avant de s'asseoir sur le comptoir de la cuisine, un sourire moqueur aux lèvres d'être aussi grande que Jessy.

« Alors, quoi de nouveau depuis la dernière fois qu'on c'est vraiment parlés? »

Il fermait alors le placard de façon à ce que la pièce reste propre. En effet Jessy n'aimait pas le bazard, il avait beau être un mec au moins lui était un mec propre.
La façon dont Elianne venait de lui répondre refletait bien la façon dont les deux jeunes se comportaient l'un envers l'autre.. Une espece de sarcasme et d'ironie mélangées dans chacune des paroles qu'ils se prononcaient l'un à l'autre.. Tant que cette sorte de complicité était présente, Jessy savait que c'était tout bénéfique pour leur relation.

Le soleil laissait entrer de la douce lumière dans l'appartement. Celà réjouissait Jessy. Une belle journée s'annoncait.. car il faisait beau et il avait vu Elianne.. Même si leurs relations étaient tendues en ce moment, les deux savaient qu'ils comptaient encore beaucoup l'un pour l'autre.. Et leur séparation avait été difficile des deux côtés..
Le fait de voir Elianne le reconfortait tout de même, ils n'avaient beau plus être ensemble, sa présence voulait quand même dire pour lui qu'ils etaient en quelque sorte là pour l'un l'autre..

Il avait fini de ranger le materiel et se dirigeait à nouveau dans la direction d'Elianne mais cette fois ci pour se servir un bol, une cuillère et des Chocapic. Oui il était gourmand aussi. Il s'assit alors à côté de sa chère et douce et commençait à déjeuner..

" Bin depuis la dernière fois , pas grand chose à part que tu me manques.. "

Même s'il mangeait ses céréales , ses paroles étaient reellement sincères. Le hic est qu'il ne voulait pas avoir l'air d'un faible devant elle. Il sortit maintenant du frigo du lait , y versait quelques cuillères de Nesquik avant de le chauffer au micro ondes..

"Tu veux quelque chose?"

Elianne regardait Jessy se ranger et fermer les portes de placard amusée. Il n'avait apparemment pas changé sur ce côté, ce qui restait amusant et bien, car il en serait facilement énervé. La jeune blonde ressemblant en tout point à Jessy avait tout de même quelques idées diaboliques pour le faire soupirer d'exaspération... Pour plus tard. Un sourire fendit son visage plus ou moindre neutre à la simple vue du soleil du jour.

Son regard parcouru fébrilement l'appartement dans un dernier regard avant de le poser à nouveau sur Jessy qui était maintenant assis tout près d'elle. Elle baissa la tête pour regarder ses pieds qui pendaient dans le vide, trop loin du sol. Le déjeuner de son ami lui releva légèrement le coeur. Aussi fanatique de sucrée qu'elle soit, l'appétit lui était coupé depuis un moment. Manque de sommeil, manque d'appétit. Habitudes qui vont de paires.

Pourtant, jamais aucun repas de lui fit l'effet de la phrase du beau brun. Jamais un mot, une phrase, un homme avait réussit un tel exploit. Son coeur en avait totalement arrêté de battre, sa respiration fut coupée. Elle ne savait pu quoi répondre. Que dire quand la seule chose qui nous passe par la tête est « moi aussi » mais la peur de paraître encore amoureuse, la retiens. C'est donc pour cette raison qu'Elianne n'eut pas le temps de dire cette phrase, car le garçon était déjà debout lui posant une question. Une question qu'elle n'aurait pas voulu entendre, car la seule réponse qui lui sortit de ses lèvres fut la pire de toute sa vie.

«Oui. Toi. Nous.»

Un silence, puis deux et enfin la réalisation. Réalisation de la phrase, des trois mots qu'elle venait de dire. Ses lèvres se pincèrent, sa main gratta nerveusement l'arrière de sa tête puis elle eut son rire nerveux. Un rire entrecoupé de reniflement inquiet. Puis le silence à nouveau pour Elianne. Sa bouche fermée, elle n'osait plus l'ouvrir. Quelle connerie pourrait-elle sortir encore? Elle ne pouvait jamais se la fermé, jamais n'a-t-elle pu avant.

« Désolée. Hum. »

Elle sauta en bas du comptoir et se dirigea vers la fenêtre la plus près pour y regarder le paysage urbanisé. Sa respiration saccadée d'angoisse se calma doucement, tranquillement. Il ne pouvait que lui arriver une situation du genre, à elle. Le matin qu'elle aurait préféré dormir.

" Elianne.. Ca n'a pas l'air d'aller .. Tu sais que tu peux quand même toujours tout me dire.. Je suis là si ça va pas, tu peux parler avec moi tu sais.. "

« Ce que je veux c'est ce qu'on n'a pas pu continuer. Nous. Jessy, merde, tu es tellement... »

" Elianne, moi aussi.. Je , .. nous.., je.. "

La jeune blonde fut au premier abord surprise de voir que Jessy avait complètement laissé tomber la télévision pour elle. Son coeur arrêta de battre pour un battement, puis deux. Ses yeux bleus plongés dans ceux brun du garçon lui donna le goût de crier. Elle n'aimait pas vraiment être sous ce regard-là; un regard qui lui semblait presque comprendre. Puis dans le moment le moins inattendu, sa main fut prise dans celle plus grande du beau brun. Les paroles incomprises, sans but, ni façade. Des mots qui sembleraient anodins pour le commun des mortels, mais si intenses dans la situation d'Elianne. Les mots n'avaient plus de sens, pourquoi en auraient-ils, s'ils se comprennent grandement sans, n'est-ce pas. Pourtant, la petite femme ne put repenser d'avantager à ses mots, car les lèvres de son colocataire entourèrent les siennes dans une douce caresse.

Bouche bée ne serait jamais le mot convenable. La jeune blonde ne réagit point à ce baiser qui en lui-même était simple, mais accélérait son coeur dans une musique rythmé. Il ne venait pas juste de l'embrasser, n'est-ce pas? Il ne venait pas de lui dire qu'il voudrait sûrement la même chose. Pourtant, la jeune femme croyait que ce n'était peut-être pas peine perdue, eux. Mais douce révélation revint en force. Il aimait toutes les femmes!

« Ne dit pas ça. Dit rien. Tu vas finir par faire la même chose qu'avant, avec moi. Je n'ai pas la force de te perdre une deuxième fois. »

Un soupir franchit la barrière des lèvres de la femme qui ressemblait plus à un enfant à l'instant même. Désespoir, tristesse et trahison se reflétait sur son visage. Son magnifique visage qu'elle cacha sur le torse de son vis-à-vis. Entourant le coup du garçon de ses bras, elle le sera contre elle dans une étreinte peinée. Elle se sentait si seule, maintenant. Pourtant, ses amis la suivraient dans toutes ses démarches. Elle avait peur, peur d'être blessé par lui. Elle n'était plus assez forte, non plus jamais assez forte.

« Pourquoi est-ce que tu me dis ça, me fais-tu comprend ça. Jessy, tu vas faire comme avant. Tu n'as pas changé! Tu m'as fait tomber dans tes bras par tes mots doux, mais est-ce que cette fois-ci c'est pareille? »

Ses mains se placèrent doucement sur le ventre de l'homme après avoir libéré le cou de son étreinte. Elle voulut le pousser d'elle, se dégager, mais elle ne pouvait pas, elle ne voulait pas assez.

" Sincèrement désolé Elianne.. Je promets que je vais changer, je vais devenir plus attentif avec toi.. J'te promets , je ne recommencerai plus si l'on se remet ensembles... Je te le promet.."

[HJ: Non mais t'es sympa toi, d'm'insulter de grosse merde ça va pas ou quoi tu m'as vexé. Et arrete de Faker tous mes posts non mais. Lol]

«Et si tu ne peux pas, Jessy? Et si tu ne peux pas, je vais souffrir ici. Pas toi, mais moi. Être désolé ne sauve pas le monde, tu sais. Les actions ne sont pas facilement oubliées.»

« Je n'oublie pas, tu sais, mais... Tu me le promets, vraiment?... »

[Je fais ce que je veux, ahaah!!! =DD Anyway, tu le méritais! xD]

Désolé mais j'ai été absent quelques jours - Noël. Je viens donc m'incruster, ça vous dérange pas ? Surtout que vous êtes en plein dans les feux de l'amour là ^^
Anyway, si ça m'aurait dérangé que tu viennes, j'aurais pas mis ton name =D Tu es le welcome et puis, il faut bien qu'on se rencontre un moment donné! =D

C

e samedi, le jeune espagnol s'était levé vers sept heures du matin, il n'était pas resté enroulé dans ses draps mais n'était pas non plus sorti de sa chambre. Lorsqu'il avait posé ses pieds sur le sol, il avait atrappé son MP3 pour se mettre un peu de musique dans les oreilles tout en dessinant un peu. Il devait rendre sa planche ce soir mais ne l'avait toujours pas terminée, il lui restait un peu plus d'une case et le texte, mais lui, il venait seul. Après trois bons quart d'heures, il l'avait enfin terminée. Son inspiration était venue grâce à quelques musiques de l'un de ses groupe de musique préféré. Comme quoi l'inspiration pouvait venir de partout.

Après avoir terminé sa planche en pyjama, il commençait à avoir un petit creux. Le dessin, sa creuse, et ce n'est pas lui qui allait dire le contraire. Zakaria ne connaissait pas vraiment ses deux colocataires. il les avait rarement vu, tout comme eux l'avait rarement vu et c'était un peu normal quant on regardait de plus près le style de vie du jeune espagnol : il restait soit dans sa chambre pour dessiner, ce qui lui permettait de payer sa partie du loyer et de ses charges soit il sortait ou alors, il restait dans l'appartement mais à ce moment, c'était ses colocataires qui étaient dehors. Aujourd'hui, il allait enfin leur parler sérieusement.

Lorsqu'il ouvrit la porte de sa chambre, le jeune homme put apercevoir devant celle-ci ses deux autres colocataires qui s'enlaçaient, il y avait une jeune femme habillée et un jeune homme vêtu d'un simple boxer blanc... no comment. Zakaria s'avança et tourna la tête, ses deux là avaient l'aire de se connaître. Il était donc un intru dans une maison... d'amis. Mais il apprendrait surement à les connaître. Le jeune espagnol sortit de son espace privé et s'avança vers la cuisine, ne faisant même pas attention à la télévision allumée. En passant à côté des deux jeunes gens, il prononça un petit bonjour, comme s'il ne voulait pas les déranger mais tout de même leur faire savoir qu'il était là.

Le jeune homme était quant à lui un peu plus habillé que l'autre garçon puisqu'en plus de son boxer noir, il avait un T-shirt de la même couleur au dessus, tandis qu'il se déplaçait sans pantoufle mais juste avec des petites chaussettes d'été, elles aussi noires. Une fois dans la cuisine, il ouvrit une armoire pour y prendre le pot de nutella et du pain, un set de table et une tasse qu'il prépara avec un peu de café dans sa tasse en plus d'un petit nuage de lait. Il tartina sa tartine de nutella à l'aide d'un couteau et la trempa ensuite dans son café avant de l'avaler morceau par morceau, seul assis sur la table

"En qué aún me alineé"