Courage...[pv Gabriel ]

Ange se réveilla enfin après un grosse nuit de sommeil , elle s'étira mais resta dans son lit , elle n'u pas le courage de se lever il faisait froid alors que sous la couette il faisait bon . Pourtant après quelques minutes a revasser sur son lit elle prit son courage à deux mains et fini par se lever. Elle jetta un oeil sur son lit et ne vit pas son chat , mais où pouvait-il bien être ? Elle ne s'en traquasse pas pour autant et fit son lit.

Elle se dirigea vers sa cuisine en traînent des pieds comme tous les matins , prépara ensuite sa petite tasse de café et la but . Elle mit sa tasse délicatement dans l'évier . Elle ne voulut faire la vaisselle maintenant , elle était trop patraque , elle reporta alors la vaisselle quand elle aura fini de s'apprêter . Ange se dirigea ensuite vers sa commode et prit les premiers vêtement qui lui tombit sous la mains et les enfilas puis fit la vaisselle , elle fut vite faite puisqu'il n'y avait qu'une tasse mais bon elle la fit tout de même ...Ange essuya son évier s'était sans doute un tic puisqu'elle ne supportait pas voir un évier mouiller ,aller savoir pourquoi !... Elle regarda au tours et trouva l'appartement bien calme , chercha alors son chat sa commençait a la traquasser puisqu'il était toujours près d'elle en temps normal , on pourrait même dire que c'est un chat pot de colle . Elle fouilla dans toute les pièce mais ne le trouvait toujours pas . Elle saretta alors en plein milieu de son petit hall pour réfléchir ou il pouvait être , elle ouvrit alors la porte d'entrée et le chat lui sauta dessus . Un crit s'échappa de sa gorge , elle mit de suite la main devant sa bouche , c'est sur elle a réveiller tout l'immeuble , elle referma la porte mit ses deux poids sur son bassin tout en regardent son chat et lui dit :

-Mais sa va pas ! J'ai réveiller tout l'immeuble de ta faute !

Elle regarda le chat un peu agacée de se qui venait de se passer une personne toqua sur sa porte , elle regarda alors son chat encore plus agacée et lui dit de nouveau :

-Je te l'avais dit ! merci...

le chat partit alors sur son lit , la laissant seul avec la personne qui venait de toquer , elle ouvra la porte et derrière cette porte se trouvait un vieille dame qui avait l'air de mauvaise elle faisait une grimace avec sa bouche , après quelques minutes a se regarder sans réagir lui vielle dame lui dit d'un ton énerver

-Il y a un problème ici ?

Ange regarda la vieille dame un peu gênée et lui fit un léger sourire avant de lui répondre :

Non , tout va bien, merci !...

La veille femme repartit chez elle et Ange prit son sac et son manteau , puis partit , maintenant dans la rue elle sortit un bout de papier avec une adresse marquer dessus , cette adresse était celle de son frère , elle demanda a une personne se trouvent juste a coter d'elle quel direction elle devait prendre et continua son chemin . Elle arriva alors devant la porte , elle hésita quelques instants a y aller , elle tremblait légèrement , elle ne savait pas comment son frère allait réagir et sa lui faisait très peur . Mais bon , elle na pas emménagé ici pour rien , elle respira très fort et sonna...

- T’as raison … Bien sûr … Ouais … Complètement d’accord … Mais oui … ça me fait plaisir …

Ses répliques étaient délimitées par un temps d’arrêt plus ou moins long, mais l’effet était le même : Gabriel se moquait totalement de toutes les remarques qu’Ella pouvait bien lui faire à travers la maigre cloison de la salle de bain. Cherchant comme d’habitude la provocation, il se contenta avec un plaisir non dissimulé de lui avancer tout un tas de remarques parfaitement inutiles, insignifiantes mais surtout très exaspérantes. Après tout, il n’avait jamais que dix-neuf ans, et il était mature pour ce qu’il voulait bien. Ennuyer sa colocataire, amie, et peut être un peu plus était tant un de ses passe-temps favoris, qu’il ne se lassait jamais d’être un peu puéril.

C’est ainsi qu’il abandonna « Miss Salle-De-Bain » et qu’il pénétra dans le salon. Rien d’exceptionnel, la lumière ne passait pas tellement au travers des fenêtres à moitié obstruées par les volets qui n’étaient pas relevés, le mobilier était très simple et très sobre, et une odeur de tabac planait dans l’air. Coutumier, et c’était ainsi que Gabriel se sentait chez lui. Une ambiance qui lui ressemblait bien, et qui lui plaisait. Il ne fallait pas grand-chose au jeune Thompson pour se sentir bien, et il ne lui fallut que quelques secondes de plus pour s’affaler sur le sofa, allongé dans son intégralité.

Il saisit le paquet de cigarettes déposé sur le table basse à côté de lui – probablement à Ella, ce qui lui donnait une nouvelle occasion de lui « pourrir » l’existence de manière simplement taquine – et il en extirpa une seule. Il l’alluma quelques secondes après, et tira sa première bouffée. Il ferma doucement les yeux pour profiter de la sensation agréable que lui procurait la nicotine, et Gabriel renouvela deux trois fois le geste. Il se sentait tout simplement bien, et il avait d’ailleurs laissé Ella de côté. Son monde était pris pour le moment dans ses songes, mais cela ne dura que quelques secondes de plus. La sonnette retentit, et il poussa un soupir, et lâcha un juron. Grognant légèrement, il déposa sa cigarette au coin de ses lèvres et consentit à se lever, avant que le dragon qui n’occupait la salle de bain de commence à s’emporter. Il gagna la porte, et l’ouvrit d’un geste vif.
La réaction ne se fit pas attendre. Sa cigarette roula entre ses lèvres, jusqu’à tout simplement tombée au sol. Il n’y prit même pas attention, et garda la bouche entr’ouverte.

Gabriel sentit son sang ne faire qu’un tour, sa gorge se serra, et les sueurs froides ne tardèrent pas non plus. Son cœur semblait prit dans un étau, son estomac était noué, et il n’avait plus aucun repère spatio-temporel. Car le fait même de voir là maintenant, la personne qui lui était le plus cher n’avait aucun autre effet que le perdre totalement : sa sœur, Ange.

Ange fixa la porte . Terrifier a l'idée de voir son frère dans quelques minutes . Des milliers ! voilà le nombre de questions qu'elle se posait , Comment vat-il réagir ?,Est-ce qu'il va me reclaper la porte au nez ? ,etc... Elle avait sonnée depuis quelques secondes , elle allait donc le voir là , maintenant ! La porte s'outrouva , elle vit alors son frère .

Elle ne savait pas si elle se sentait bien ou mal s'était une sensation bizarre , a la simple vue de son frère elle eu les larmes aux yeux , elle le fixa s'en vraiment quoi dire . Elle avait pourtant tout prévu , elle voulait tout d'abord lui faire ses excuses , puis lui demander si il allais bien bref tout le discours qu'on fait quand on revoit quelqun qu'on n'a pas vu depuis longtemps . Mais là rien ne sortait de sa bouche c'est comme si on lui avait retirer la parole , elle regarda une nouvelle fois son frère il semblait à la fois émue et mal après quelques grosses minutes , elle cassa se silence par le seul mot qui lui est venu un simple

-Salut ...

"Salut" voila le seul mot qu'elle a su trouver , elle se traitait mentalement d'imbécile mais bon elle ne savait rien n'y faire s'était fait ,elle devait faire avec . Elle avait terriblement envie de le serrer contre elle mais en même temps , elle se retenait , elle le regarda de nouveau , il n'avait pas vraiment changer , il ressemblait toujours à son grand frère qu'elle n'a jamais oublié et qu'elle n'oubliera sans doute jamais . A cette pensée une larme coula sur sa joue , elle leva les yeux pour éviter de pleurer comme un madeleine , elle réussi a se retenir et parler un peu mieux

-Tu m'as manqué tu sais ?

Elle le regarda toujours et encore , attendant une réction de sa part vat-il le prendre bien ou mal de nouveau elle se posa cette question , même si au fond d'elle même elle s'avait très bien comment il allait réagir ...

Qu’on le croît ou non, il n’avait jamais connu que très peu de malaises de ce genre. Gabriel Thompson n’était pas du tout un jeune homme impressionnable, et sentimental, et il le faisait d’ailleurs exprès, pour que personne ne puisse jamais le comprendre réellement, et ainsi se protéger des autres. Le seul souci à ce plan visiblement infaillible et jusque là très efficace était que ce « bouclier » n’avait strictement aucune chance face à sa petite sœur. Gabriel se savait cruellement vulnérable devant elle, car elle était la seule qu’il « aime » à proprement parler. Ses parents n’étaient plus qu’un lointain souvenir, Jaylin était sa meilleure amie, mais il ne l’aimait pas à proprement parler. Il y avait Ella également, mais il était indécis, et les autres l’indifféraient totalement. Ange était, en d’autres termes, toute sa vie. Sans même qu’il n’ait besoin de se le reconnaître d’ailleurs, elle avait toujours été là, dans son cœur, le réconfortant quand il se sentait seul, le consolant quand il se sentait triste, et l’encourageant quand il se sentait perdu. Sans franchement le savoir, elle ne l’avait jamais quitté.

Mais cela lui faisait un effet bien différent de la voir devant lui. Lorsqu’il avait quitté sa maison de ses parents, il semblait avoir tiré un trait sur le passé. Dans sa totalité. Bien évidemment, au début, tout avait été très dur, sa sœur lui avait terriblement manqué, mais il avait fini par se convaincre qu’il le faisait également pour son bien. Il avait voulu l’appeler, lui écrire, ou même aller la voir, mais il s’était soudainement trouvé trop lâche, et y avait renoncé. Il ne s’était jamais pardonné la tentative de viol, l’accident, et pourtant, il n’avait jamais voulu assumer devant ses parents pour autant. Quoi qu’il en soit, il était de nouveau face à son passé, et, pour son plus grand bonheur, il s’agissait de la partie qu’il préférait.

Elle fit le premier pas vers lui, mais il ne sut que dire. Gabriel sentit son cœur se fendre – s’il en est – lorsqu’une larme roula sur la joue d’Ange. Littéralement anéanti par cette vision et par les remords qu’il avait de ne pas l’avoir revu plus tôt, il attendit seulement la fin de la seconde réplique de sa sœur, pour l’étreindre avec une rare tendresse. Le temps de sortir les appareils photo étaient sans aucun doute venu, car peu de personne pouvaient se vanter d’avoir le droit à un tel traitement de faveur – mais sa sœur n’était pas « peu de personne » - et encore moins pouvait se vanter de le faire pleurer. Car, oui, une larme, puis une seconde coula le long de sa joue. Il la garda ainsi dans ses bras, l’embrassa tendrement sur le front, avant de venir lui murmurer quelques mots au creux de l’oreille :

- Tu m’as tellement manqué. J’espère que tu me le pardonneras un jour.

Gabriel ne réagi pas a le "salut" qu'avait lancer sa petite soeur Ange , enfin réagir il l'a fait mai n'a pas su quoi dire . Elle le comprenait , elle n'arait rien trouver à dire ! Que voulez vous dire ? Lorsqu'elle fini sa phrase , son frère fini par l’étreindre , elle fit de même et se sentit de suite beaucoup mieux , une deuxième larme coula sur sa joue cette fois ci de la joie que son frère lui donnait en la serrent contre lui. Elle savait très bien qu'il ne faisait pas sa a tout le monde , pour elle c'est comme si il l'avait pardonner . Lorsqu'elle vit son frère pleurer , elle se sentit mal de le voir comme sa mais en même temps contente de voir que son frère l'aimait toujours et sa s'est beaucoup pour elle . Son frère était la seule personne a qui elle pouvait se confier , la seule personne en qui elle avait confiance et pour elle contrairement à ses parents , rien a changé depuis la tentative de viol , l'accident et son problème cardiaque .

Son grand frère lui dit alors qu'elle lui avait manqué a se debut de phrase , un sourir s'afficha sur son jolie visge , Il lui dit ensuite qu'il espère qu'elle lui pardonnera un jour , elle se desserra de lui le regarda et lui dit avec un léger sourir aux lévres

-Je n'ai pas a te pardonner ! Ce n'était pas de faute ...

Elle le regarda , elle na jamais comprit ses parents d'en vouloir a son rère pourquoi ? Daccord c'est lui quiconduisait le soir de l'accident mais se n'est pas lui qui a descider de séloigner et de faire la fête de son côtée !

-C'est moi qui te demandede me pardonner de tout le mal que je t'ai fait .

- Je ne parle pas que de cette fameuse soirée … Je sais que je suis coupable de tout ce qui s’est passé, et j’aurais dû te surveiller mais … je pensais surtout à mon départ depuis Philadelphie.

Gabriel posait sur elle un regard empli de larmes, mais il n’en lâchait guère qu’une ou deux. La dernière fois qu’il avait pleurée remontait à son départ, dans la voiture. Il n’était pas parti immédiatement ce jour-là. Il s’était bien éloigné de leur maison, mais il avait rejoint cette fameuse route où avait eu lieu l’accident. Depuis sa voiture, il avait observé les lieux pendant quinze bonnes minutes, et il s’était ainsi purgé de toute la peine qu’il avait ressentie. Car, maintenant qu’il comptait partir loin d’Ange, il avait réellement besoin d’un nouveau départ. Et il l’avait eu. Ou presque.

Le jeune Thompson avait compris ses parents quand il avait rejeté la faute sur lui, mais il ne leurs avait jamais pardonné le fait qu’ils ne cessent de le rabaisser, de lui rappeler que tous les problèmes cardiaques qu’elle avait désormais ne lui étaient dû qu’à lui. Il était tellement conscient de sa culpabilité à l’époque, qu’il pensait que s’éloigner de sa sœur serait plus facile, avant qu’il ne commette une nouvelle erreur, qui pourrait lui coûter plus qu’un cœur fragile, peut être bien la vie. Et il le regrettait.

Il aimait pouvoir croiser de nouveau le regard de sa sœur cadette, et il tenta ainsi de se rappeler tout le bien que cela faisait de voir autant d’amour dans deux yeux magnifiques. Elle lui avait tant manqué, mais lorsqu’elle s’enhardit à lui demander pardon, Gabriel ne mit pas plus de deux secondes à réagir, car il ne pourrait jamais permettre le fait qu’elle puisse s’en vouloir de quoi que ce soit :

- Ne dis pas de bêtises. Le seul mal que tu serais capable de me faire n’est jamais arrivé.

Et il le pensait sincèrement. Elle ne lui avait jamais apporté qu’un sentiment de bien-être intense, et c’était cela selon lui d’avoir une sœur. Ange avait un prénom qui la représentait réellement aux yeux de son frère, comparé à lui, que l’on surnommait par le passe « l’Ange Gabriel » qui n’en avait jamais été un. Il s’effaça ensuite pour la laisser pénétrer à l’intérieur.

- Entre.

Gabriel lui dit qu'il ne parlait pas de la soirée mais de l'accident , elle ne dit rien c'est vrai qu'elle lui en voulait d'être partit sans même la prévenir ou même lui dire "Au revoir" . Non elle est revenue après le lycée chez elle et la on lui annonce que son frère est partit et qu'il ne reviendras peut-etre pas chez elle . Elle a beaucoup souffert de sa . Plus personne a qui parler bien sur elle avait ses ami[e]s mais elle na jamais réussie a se confier a eux comme elle le faisait avec son frère . Elle restait des heures renfermée dans sa chambre se qui enquiétait quelques fois son entourage , mais en même temps la laissait seul . Tout le monde ne la comprennait pas certaine personnes la traittait de "folle" et c'est la seul chose qu'elle a a repprochée a son frère , d'être partit sans prévenir.Ange n'était pas du genre a se plaindre et ne laissait pas beaucoup de monde la comprendre. Elle n'avait pas souvent vut son frère pleurer en voyent quelqu'un et de voire sa lui fit chaud au coeur .

Son frère s'effaca pour laisser l'entrer libre a Ange , elle penetra alors à l'intérieur regarda l'intérieur , elle le trouvait plutot bien rangée et propre c'est donc sur il n'était pas le seul a vivre ici ,il y avait une petite touche féminine et puis son frère était très bordélique dans sa chambre , elle le savait parce qu'elle adorait le réveiller tôt le matin et d'ennuyer son frère .Toujours un peu endormie il s'enervait quelques fois et sa la faisait rire contrérement a son grand frère qui lui destait
bien évidamment !

Ange ne supportent pas le silence regarda quelques instents son grand et lui d'un air soupsonneur

-Toi tu ne vit pas seul ici , c'est bien trop propre et rangé

Elle fit un large sourir se rappellent sa chambre plus désordre que sa difficile d'en trouver mais en même temps s'était une chambre de garçons c'est donc un peu normal , on lui pardonne a moitier .

Décidemment ravi d’avoir retrouvé sa sœur, Gabriel sécha ses larmes, qui n’étaient rien d’autre que du regret, puis de la satisfaction. Il n’aimait pas spécialement l’idée qu’elle soit là, étant donné qu’il culpabilisait toujours autant, mais, dans le même temps, il ne pouvait que se réjouir d’avoir retrouvé un être si cher, et d’ailleurs le seul qui lui importe réellement. Toute sa vie était représentée dans un sourire, un regard ou un geste d’Ange, et cela, il ne l’oubliait jamais. Sans elle, il ne serait rien, et il ne serait sans doute même pas là aujourd’hui. Serait-ce mieux ou pire ? Difficile à dire en réalité.

Il s’était donc effacé pour laisser entre sa sœur. Il profita qu’elle fusse occupée à observer les alentours pour ramasser la cigarette qu’il avait laissé tomber quelques instants plus tôt. Ayant manqué de brûler une partie du parquet, il se pressa de l’éteindre du bout des doigts, dans une grimace quasi imperceptible. Il la glissa dans le fond de sa poche, certain de pouvoir la terminer un peu plus tard. Pour le moment, ce n’était pas de nicotine dont il avait besoin, mais plutôt d’une bonne bouteille pour se remettre du choc de l’arrivée de sa sœur.

Elle remarqua sans peine que l’appartement tenait un ordre certain, et il était clair que ce n’était pas grâce au plus grand bordélique que la Terre ait porté. Si Gabriel avait peut être changé, de ce côté-là, tout était encore en ordre, enfin, si l’on pouvait dire ainsi. A visiter la chambre de Gabriel aujourd’hui, elle était pourtant plus ou moins en ordre, mais c’était seulement parce qu’il n’y passait que très peu de temps, et que le reste de la journée, il était dehors, ou affalé sur le sofa. Il sourit donc à sa sœur, pour répondre :

- Je plaide coupable. J’ai deux coloc’s : Ella Baker, barmaid, et Liam Scott, médecin.

En pensant à cela, Ella était dans la pièce à côté, mais il valait mieux qu’elle ne le voit pas avec les yeux rougis, faute de quoi, il entendait déjà les remarques sarcastiques arrivées à ses oreilles. Il y avait bien des choses qu’elle faisait très bien d’ignorer pour le coup. Quant à Liam, il travaillait comme un fanatique à l’hôpital, si bien que Gabriel ne le voyait pas très souvent.

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